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Avis des lecteurs sur
La Théorie Sensorielle : une archéologie de la perception sensorielle

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5 étoiles Un livre remarquable qui a des décennies d’avance sur les autres
Par Client d'Amazon, le 15 février 2017
C’est la critique d’Alain Sounia (ancien directeur de recherche au CNRS) qui m’a donné envie de lire la théorie sensorielle dont j’avais appris l’existence par Google Plus. Parmi 19 commentaires le sien était le seul à n’afficher qu’une seule étoile au lieu des cinq unanimes des autres lecteurs. J’ai compris ensuite que c’était pour se faire remarquer dans « ce concert de louanges » qu’il avait opté pour cette méthode quelque peu singulière, mais assez efficace. Je me suis donc employée, crayon en main comme il le conseille, à la lecture de ce travail qui a nécessité de longues années de recherches. Je n’avais jamais entendu parlé de Philippe Roi et Tristan Girard dans la presse, ni de leurs travaux. Ce qui démontre encore que la presse est un microcosme, qui est bien éloigné de sa mission de nous informer, car dans le cas contraire, elle ne serait pas passée à côté d’un livre comme celui-ci. J’ai donc commencé par parcourir la bibliographie. J’attache une importance particulière aux bibliographies car elles reflètent la culture et l’organisation intellectuelle des auteurs. Or dans le cas présent c’est une des plus riches qu’il me soit arrivé de consulter, en particulier sur les organes des sens. Puis, lors de la lecture du premier chapitre consacré aux origines des sept inventions qui vont servir de base à des analogies passionnantes, j’ai apprécié la prose, claire et élégante, ce qui est plutôt rare pour un ouvrage scientifique. Je me suis passionnée à la lecture du deuxième chapitre et de ses « analogies sensorielles ». Je résume. Selon les auteurs, ce n’est pas notre conscient qui invente de nouvelles techniques, mais notre non-conscient cognitif, un concept récent affranchi de la psychanalyse et de ses représentations refoulées. Ce non-conscient engloberait « un vaste ensemble de processus, en particulier moteurs, qui échappent au contrôle actif de la conscience, autrement dit qui se produit sans avoir intentionnellement fixé les objectifs ou évalué les résultats ». Mais les auteurs vont plus loin, ils démontrent que ce non-conscient cognitif se servirait des plans anatomiques et de la physiologie des organes des sens pour inventer de nouveaux objets ‘l’araire, le moule à briques, la harpe, le métier à tisser, les mosaïques) ou de nouveaux concepts (l’écriture et la comptabilité). C’est brillant, d’autant que les analogies qu’ils présentent sont parfaitement intelligibles et effectuées sous le contrôle des meilleurs experts dans leur domaine. A ce titre, je ne suis pas d’accord avec Alain Sounia qui leur reproche d’avoir publié en fin d’ouvrage des attestations de ces experts. Dans leur réponse les auteurs semblent lui donner raison mais ils ont tort. Les domaines abordés sont si nombreux, et cette théorie si audacieuse, que j’ai personnellement été très intéressée par ces témoignages qui attestent d’une part de l’énorme travail effectué par les auteurs, le sérieux de ce travail et l’enthousiasme qu’il a suscité, car nombre d’entre eux sont heureux de cette collaboration. Enfin, les auteurs avancent, à la fin de l’ouvrage « l’hypothèse de l’existence d’une codification sensorielle non-consciente grâce à laquelle nous catégoriserions les stimuli que nous percevons de notre environnement en les regroupant selon les caractères qu’ils ont en commun ». Je pense qu’ils veulent parler d’un code, comme celui de l’ADN, mais propre au cerveau. J’attends la sortie du tome 2 consacré à ce code. J’ai malgré tout deux critiques à adresser aux auteurs. Premièrement, comme l’écrit très justement Alain Sounia, il s’agit d’un travail « minutieux, totalement interdisciplinaire » et j’ajoute, fort bien illustré. Mais je trouve dommage que le deuxième chapitre, qui est constitué de sept articles indépendants, chacun consacré à un organe des sens et à une invention, ne soient pas reliés entre eux. On comprend que la première invention a conduit à la découverte de la deuxième et ainsi de suite mais ce n’est pas dit clairement et les relier ensemble aurait été une bonne chose me semble-t-il. Deuxièmement les travaux connexes en fin d’ouvrage, avec une analogie entre une horloge et une cellule vestibulaire, bien que remarquable, tombe comme un cheveu sur la soupe et devrait faire l’objet d’une autre publication. Lire « la Théorie Sensorielle » est une expérience singulière. L’ouvrage ne se livre pas facilement (comme ses auteurs qui ne semblent pas rechercher le contact…). De plus, il faut aimer les analogies, les neurosciences et l’archéologie. Mais si vous voulez sortir des sentiers battus et du rabâchage des ouvrages scientifiques aujourd’hui sur le marché, ce livre a des décennies d’avance sur les autres et il est remarquable. Je lui donne donc 5 étoiles au risque que mon commentaire soit noyé dans « ce concert de louanges ».

(Remarque des auteurs :) Votre commentaire n'étant pas signé, nous ne savons pas à qui nous nous adressons, mais nous vous remercions d'avoir pris le temps de rédiger cette note qui atteste que vous avez parfaitement compris nos travaux. Nous avons pris bonne note de vos remarques notamment au sujet de l'analogie entre l'horloge et le système vestibulaire. Vous semblez nous reprocher aussi de ne pas chercher le contact. Nous pensons que vous faites référence au fait que nous répondons rarement aux emails que nous recevons. La raison est simple, nous consacrons l'essentiel de notre temps à nos recherches. Cependant dans un souci d'entretenir un lien avec nos lecteurs nous avons ouvert en octobre 2015 un compte "Google Plus" que nous avons consacré à une veille scientifique ayant pour thème le cerveau humain. Il compte à ce jour plus de 12 500 abonnés. Voici le lien : https://plus.google.com/+NeuroscienceRoiGirard Nous avons par ailleurs ouvert un compte Facebook, il y a deux semaines, consacré quant à lui à l'archéologie cognitive de façon à conserver un lien avec nos amis universitaires principalement américains et canadiens. Voici le lien : Facebook : Roi Philippe (attention de ne pas inverser nom et prénom). Enfin, nous poursuivons effectivement, depuis la publication du premier tome de la Théorie Sensorielle (en décembre 2013), nos travaux visant à décrypter le code neural, autrement dit le langage que le cerveau utilise pour interpréter l'environnement et produire les fonctions supérieures telles que la perception et la cognition. Les milliers de scientifiques, qui travaillent dans le monde sur ce sujet, calquent leurs recherches sur le déchiffrement du code génétique (en 1953) et le séquençage du génome humain (en 2001), or ce dernier est loin d’avoir tenu ses promesses : une fois la prouesse technique du décodage du génome en place, on pensait identifier chaque gène et relier ces gènes à des caractéristiques physiques précises. La thérapie génique était à portée de main, c’était juste une question de technologie. Mais 25 ans après le lancement de l'Human Genome Project (HGP) en 1990, on est loin, très loin des promesses d’origine. Si l'on tient compte du fait que le code neural est beaucoup plus obscur encore que le code génétique, il faut emprunter, selon nous, tout en poursuivant les recherches actuelles, d'autres voies jamais usitées. Nos recherches consistent à définir les règles d’intégration qui sous-tendent les grandes fonctions sensorielles, motrices, cognitives et comportementales. Nous cherchons à comprendre comment le non-conscient cognitif a construit par l'intermédiaire d'un code sensoriel que nous avons découvert, des représentations mentales, des idées, des inventions, de nouveaux concepts, en d'autres termes, son expérience afin de prendre des décisions. Le décryptage de ce code est long et laborieux, mais il nous apporte jour après jour cependant de grandes satisfactions et nous espérons d'ici 3 à 4 ans pouvoir le publier. Parallèlement à ces travaux, nous nous consacrons à compléter le premier volume de la Théorie Sensorielle et à la traduire en anglais. En vous remerciant une fois encore pour votre lecture et votre commentaire, nous espérons que vous nous suivrez sur nos comptes Google Plus et Facebook.

1 étoile Une théorie ou des analogies ?
Par Alain SOURNIA, le 18 janvier 2016
Voici un livre étonnant, dont on doit espérer, malgré sa publication hors des circuits commerciaux traditionnels, qu'il suscitera une belle controverse. Pour être concis et minimiser les risques de malentendu, je vais avoir recours à plusieurs citations. ' L'idée initiale. En Mésopotamie au IVème millénaire, "sept inventions remarquables : l'araire, le moule à brique normalisé, l'écriture, la comptabilité, la harpe, le métier à tisser vertical et l'image de cônes. Elles engendreront à leur tour sept concepts fondamentaux : l'agriculture, l'urbanisme, l'administration, l'économie, la communication, l'industrie et l'information. ['] Comment ces inventions ont-elles pu être élaborées sur des modèles identiques à ceux qui permettent aux organes sensoriels de traiter l'information ['] pourtant inaccessibles, à l'époque, à la perception et à la compréhension ?" (p. 8) ' Hypothèse et questions. "Ces inventions pourraient être le produit de l'analogie et de la catégorisation, [via] des analogies sensorielles. [' Sont-elles] le résultat : d'une dynamique déterministe (ou d'un système instable imprédictible) ? ou de la projection intuitive de mécanismes biologiques ['] ou enfin d'une heureuse coïncidence". (p. 8) ' Suivent, en sept sections, les exposés de chacune des inventions en regard de l'un des sept systèmes ou sens suivants, dans le même ordre : pied, main, goût, odorat, audition, équilibration vue. (Certes, le pied n'est pas un organe des sens, passons.) Ces exposés, tant archéologiques que neurobiologiques, sont d'une richesse, d'une minutie et d'une actualité qui en font des "reviews" d'autant plus précieuses que le livre comporte un index de sept pages. Sous-jacent, un travail de recherche sur vingt années, minutieux, totalement interdisciplinaire, impliquant un nombre effarant de co-auteurs (pour tel ou tel chapitre) et de "reviewers" tous spécialistes dûment identifiés et dont la seule énumération occupe quatre pages ; leurs attestations écrites, en revanche, sont plutôt "contre-productives" : faudrait-il se méfier ? Pour faire court encore, plusieurs vertus de cet ouvrage : - il met à profit les découvertes et discussions récentes : cognition libre, activité du non-conscient, vision aveugle, amorçage, darwinisme neuronal, rôle de l'aléatoire et du bruit (j'ajoute : le chaos), et d'autres ; oublié mais impliqué (ci-dessous) , le réseau du mode par défaut (RMD) ; - il n'hésite ni à bousculer les idées reçues ("Le cerveau n'est pas silencieux en l'absence de stimulations sensorielles et ne réagit pas de façon réflexive aux stimuli extérieurs. ['] Le code neural dépasse le simple codage par la fréquence"), ni à dénoncer les lacunes de la connaissance (dernière phrase de l'exposé : "Il nous faut apprendre à discerner le mode d'emploi au sein de cette masse croissante d'information'") ; - il fait réfléchir sur le processus de l'analogie que les auteurs avouent eux-mêmes "si souvent solliciter" et 'c'est peu dire ! Belle synthèse (j'ose dire belle quand les auteurs disent douter d'une "exigence esthétique" en matière de cognition) et je persiste : on baigne avec bonheur dans la connaissance ! Ceci, sous trois aspects : (1) la nature, la vie et la pensée au plus profond de ce que l'on en sait aujourd'hui ; (2) les prodigieuses avancées des humains voués à ces recherches et (3) la mystérieuse alchimie qu'est la transduction 'et qui, d'ailleurs, demeure inviolée au terme de la lecture, étant même absente de l'index. La procédure d'Amazon pour ces commentaires exige de noter le livre entre 1 et 5. Sous la contrainte donc, ce sera 1, maigre chance de faire entendre, dans le concert des louanges, un bémol sinon un couac. Tant pis, j'aurai fait mon travail d'ancien directeur de recherche au CNRS. Mais, demandez-vous, en quoi consiste la "théorie sensorielle" ? Mieux vaut que vous le trouviez vous-même, à la fin du livre (p. 154, lignes 7-17), car, pour mon compte, je perds pied. Juste à la fin, dommage ! C'est que mes réserves sur les procédés logiques utilisés et sur la validité des intuitions et analogies développées commençaient à s'accumuler.' À relire donc, à éplucher, crayon en main !

(Remarque des auteurs :) Monsieur Sournia, Pour répondre à vos critiques, il est vrai que le mot « théorie » était peut-être prématuré bien qu'il trouvera sa justification dans le second tome sur lequel nous travaillons en ce moment. Dans ce second ouvrage nous formulons l'existence d'un « code sensoriel » qui, selon nous, serait à l' origine des règles d'interactions de l'esprit humain avec le monde qui l'entoure. Ce code sensoriel, une fois que nous l'aurons exposé, sera confronté comme il se doit à des faits qui ont été depuis longtemps débattus et/ou qui font l'objet de consensus de la part des spécialistes, afin que chacun puisse valider ou invalider sa pertinence. En ce qui concerne la publication des certificats en fin d'ouvrage, que vous trouvez contre-productif, elle nous fut conseillée en raison du fait que ces analogies regroupaient plusieurs experts de disciplines et de nationalités différentes. Mais, plutôt que de certifier leur collaboration, nous pensions que leur publication pouvait intéresser les lecteurs non scientifiques en raison des informations complémentaires qu'ils contiennent (voir par exemple les attestations de Paul Bessou, André Holley ou Enrique Soto, entre autres). Peut-être n'était-ce pas une bonne idée finalement. Au sujet de votre remarque sur le pied : « Certes, le pied n'est pas un organe des sens, passons. » Vous n'ignorez pas à ce sujet que le débat fait rage. Pour de nombreux spécialistes de la posturologie et chirurgiens orthopédistes, les pieds sont, à l'évidence, le moteur du mouvement et les agents des informations posturales et à ce titre, devraient être considérés comme de réels organes des sens à part entière, au même titre que les mains pour le toucher et la préhension. Le décryptage du code sensoriel, qui nous occupe depuis trois ans, aurait plutôt tendance à conforter cette idée. Reste l'hypothèse proposée à la fin de ce premier tome qui, nous en convenons, n' a pas été développée comme elle aurait dû l'être. Nous allons corriger cela et expliquer plus en détails comment le non-conscient cognitif se sert (via un code sensoriel) de l'anatomie et de la physiologie des organes des sens (grâce auxquels il perçoit son environnement et interagit en lui) pour inventer de nouveaux concepts et faire de nouvelles inventions. Enfin, nous souhaitons vous remercier, Monsieur Sournia, pour le temps que vous avez consacré à lire, ou plutôt à décortiquer ce premier volume. Sachez que votre unique étoile est pour nous comme la rose du Petit Prince. Une seule étoile peut être plus brillante qu'une multitude.

5 étoiles Un livre très intéressant !
Par SOS Detective, le 21 juillet 2015
Très bien écrit, c'est un livre qui se lit rapidement. Une fois la dernière page tournée, on continue de se poser des questions, de vouloir en parler autour de soi et de relire certains passages. En apparence anodin, cet ouvrage laisse, par sa subtilité, un souvenir indélébile. Je vous le conseille vivement. Merci à Monsieur Roi Phillippe de m'avoir fait découvrir son livre et de me l'avoir présenter lors de notre rencontre. Éric Maupouet

5 étoiles Ils ont relié les connaissances
Par EO, le 3 mai 2015
« La Théorie Sensorielle » a été pour moi une révélation. Ce livre permet de montrer qu’il est possible de répondre à deux grands défis que la science devra affronter au cours du troisième millénaire. Le premier est celui de la globalité que pose, comme l’explique Edgar Morin, «l’inadéquation aggravée entre un savoir fragmenté et compartimenté entre les différentes disciplines d’une part et des réalités multidimensionnelles globales, transnationales d’autre part.» Le second est le défi de l’accroissement ininterrompu des savoirs qui rend sans cesse plus difficile l’organisation des connaissances autour des problèmes essentiels. « La Théorie Sensorielle » réunit en effet (sous la direction de Philippe Roi et Tristan Girard auteurs de ce travail qui leur a demandé presque 20 ans) des experts de différentes disciplines scientifiques (neurologues, biologistes, généticiens, historiens, archéologues) autour d’une question essentielle à savoir : comment notre cerveau invente de nouveaux concepts ? Mais plus important encore, les auteurs parviennent par cette réunion de compétences à élaborer une thèse des plus solide et des plus convaincante selon laquelle notre non¬conscient cognitif (à ne pas confondre avec l’inconscient freudien) serait à l’origine de toutes nos inventions. J’ai entendu parler de cet ouvrage lors d’un voyage au Québec où la Théorie Sensorielle fait l’objet d’un véritable intérêt. Inconnu en France (car ses deux auteurs ne sont pas issus du corpus universitaire) cette Théorie ne fait l’objet d’aucun article, ni d’aucune émission de radio ou de télévision dans notre pays. Une fois encore, la France découvrira dans une décennie les travaux de deux chercheurs indépendants par l’intermédiaire d’une autre nation qui en recueillera les fruits et le prestige. Je ne peux que vous recommander de faire l’effort de lire cet ouvrage (ce livre réclame en effet une grande attention) car c’est une des thèses les plus passionnantes que j’ai eu l’occasion de lire au cours de ma vie. EO

5 étoiles Une vision unique de l’inconscient cognitif
Par Didier F., le 10 octobre 2014
Les analogies que ce livre contient entre les organes des sens et les grandes inventions mésopotamiennes sont époustouflantes. Les auteurs apportent une vision unique de l’inconscient cognitif. Pour la première fois j’ai eu le sentiment de comprendre comment le cerveau travaille indépendamment de la conscience pour nous fournir des idées, des concepts ou des inventions.

5 étoiles La théorie sensorielle
Par coolpseudo, le 2 juillet 2014
J'ai connu ce livre par hasard. Il propose une approche et une analyse super intéressante d'inventions fondamentales pour l'humanité. Et il ouvre des perspectives sur ce que les hommes continuent à inventer. Bouleversant!

5 étoiles Ce n’est pas le conscient qui invente, mais le non-conscient
Par Franck DAMIENS, le 20 juin 2014
Écrit par deux chercheurs indépendants en sciences cognitives, cet ouvrage propose d'entrer dans le fonctionnement du non-conscient, de l’analogie, des sept sens et du concept même de l’invention. On comprend à quel point le non-conscient se sert des organes des sens pour percevoir l’environnement qui l’entoure, mais aussi en s’inspirant de leur anatomie et de leur physiologie pour fournir au conscient de nouvelles techniques afin de permettre à l’homme d’évoluer au sein de cet environnement. C’est brillant, bien écrit et illustré avec talent. On s’étonne seulement de ne pas en entendre parler dans les médias, ou que la Fnac ne diffuse que la version numérique de l’ouvrage contrairement à Amazon ?

5 étoiles Voyage dans l’Inconscient Cognitif.
Par Gab Nicole, le 19 juin 2014
Un excellent livre qui explique l’inconscient cognitif et son rôle dans le cadre de l’invention. On est loin des petits tests que l’on nous réitère à longueur d’articles scientifiques depuis des années pour tenter de percer les secrets d’un inconscient cognitif qui résiste à toutes les formes d’investigation. Les auteurs, par une maîtrise sans pareille de l’analogie, nous font pénétrer directement à l’intérieur de cet inconscient et nous expliquent grâce à des « analogies sensorielles » comment cet inconscient cognitif se sert de l’architecture des organes des sens comme modèle pour inventer de nouvelles techniques. Ces analogies ont été rédigées avec et sous le contrôle de scientifiques de réputation internationale, et on ressent à travers leurs commentaires en fin d’ouvrage, l’admiration qu’ils portent à ces deux chercheurs indépendants : Philippe Roi et Tristan Girard Je ne vous cacherai pas que quelques passages sont difficiles, il faut parfois relire plusieurs fois, car le niveau est postdoctoral, mais c’est toujours passionnant, et les magnifiques illustrations à chaque page de l’ouvrage contribuent grandement à la compréhension du texte. C’est un des rares livres où je me suis sentie vraiment plus intelligente en le refermant. Une expérience à ne pas rater, car elle ne se présente pas souvent de nos jours.

5 étoiles L’analogie maîtrisée
Par nicole, le 19 juin 2014
Philippe Roi et Tristan Girard ont le talent de transmettre leur Théorie Sensorielle en termes compréhensibles et d'une façon passionnante grâce à une maîtrise de l’analogie que je n’ai jamais trouvée dans un autre ouvrage. Leurs travaux sont du plus haut niveau et ont impressionné, on le sent bien, les scientifiques avec lesquels ils ont travaillé car ces derniers n’ont pas hésité à l’écrire en toutes lettres dans les nombreuses lettres publiées en fin d’ouvrage avec en prime une bibliographie remarquable. JP HENRIPRE

5 étoiles Naissance de l'invention dans notre cerveau
Par PHILIPPE FOURGON, le 24 mars 2014
Comment résumer la Théorie Sensorielle? C'est difficile, car le concept est extrêmement complexe. Ce livre d'une profondeur inimaginable nous place face au vide. Celui de la naissance de l'invention dans notre cerveau. Comment le cerveau a-t-il inventé l'écriture, la comptabilité, le métier à tisser ou l'horloge mécanique ? Lui, qui ne perçoit le monde autour de lui que par les sens et ne peut apprendre que par eux, n'avait pas d'autre choix que de copier l'anatomie et le fonctionnement des organes des sens pour faire des inventions. Tout simplement parce qu'il ne disposait pas d'une autre source d'information pour comprendre le monde. C'est brillant, vraiment brillant et d'une logique absolue.

5 étoiles Un livre Majeur à lire
Par Jean-Michel Courvalet, le 15 février 2014
Comment parler de ce livre en quelques mots, c'est impossible, les auteurs en premier lieu que l'on devine passionné et pétrie de connaissances, cette faculté de rendre simple une théorie qui devient essentielle dans nos vies .rien de comparable avec tous ces livres que l'on dit scientifiques mais qui ne font qu' obscurcir notre pensée et dont en fin compte on trouve la lecture rébarbative; ici rien de tout cela, tout est clairement exposé et il est simple de faire le lien entre le passé et le présent. Tout est compréhensible et les illustrations sont très belles et elles éclairent le livre . J'encourage tout le monde à lire se livre et le relire c'est un voyage en immersion via la pensée de ces auteurs. Bravo encore à vous messieurs les auteurs que je me dois de nommer; Messieurs Philippe Roy et Tristant Girard pour ce voyage que vous nous offrez.

5 étoiles Petit mais costaud
Par sandra vitoriano, le 8 février 2014
Il n'est pas très épais mais la qualité l emporte sur la quantité.De quoi parle t'il?De nos sens , de l'écriture, de la harpe, d'images pixelisées qui remontent à 5000 ans,de charrue, de briques ,d'horloge,d'ordinateur..en fait d'inventions faites par des êtres humains il y a des milliers et des centaines d'années.Du moins c est ce que nous pensions , car en fait il semblerait que "la vérité est ailleurs" Remarque des auteurs à propos de ce commentaire : Ce commentaire laisse supposer que l'homme n'est pas à l'origine de ces inventions. Ce n'est pas le cas. Si nous démontrons que ce n'est pas le conscient de l'homme qui est à l'origine de ces concepts, c'est pour mettre en lumière leur véritable inventeur : le Non-Conscient Cognitif. Ph.Roi-T.Girard.

5 étoiles Des analogies fascinantes
Par D. Beau, le 5 février 2014
J'ai adoré dans cet ouvrage découvrir que notre civilisation reposait sur sept inventions de la Mésopotamie antique, calquées inconsciemment sur les mécanismes biologiques de nos sens. Et les auteurs apportent en plus les preuves de ce qu'ils avancent Bref, tout cela en fait un livre passionnant.

5 étoiles Aux origines de notre civilisation
Par Anne-Laure O., le 4 février 2014
C'est une lecture passionnante que je recommande fortement. Je pensais bien connaître la Mésopotamie et la brillante civilisation qui a vécu dans cette région. Je pensais également bien connaître nos organes des sens. Je me trompais, je suis allée de découverte en découverte grâce à ce livre.

5 étoiles De l'archéologie à la neurologie
Par UN LECTEUR PASSIONNE, le 31 janvier 2014
Béotien des sciences du cerveau et des organes sensoriels, j'ai beaucoup apprécié la présentation pédagogique de cet ouvrage (très bien illustré) qui m'a permis de suivre (et surtout de comprendre) un argumentaire scientifique complexe et de me considérer plus instruit en le refermant : Merci aux auteurs.

5 étoiles Aux souces de la connaissance
Par Philippe Ginsburger, le 29 janvier 2014
Le premier tome de La Théorie Sensorielle « les analogies sensorielles » est, pour nous, une section de la théorie de la sensorialité qui opère un rapprochement entre la Science et un domaine particulier de la Philosophie. Nous tenons à féliciter messieurs Philippe Roi et Tristan Girard qui, en reprenant l'évolution des conditions de vie au Proche Orient bien avant Sumer et Akkad, nous permettent, enfin, de comprendre comment et pourquoi nous sommes arrivés à un tel niveau de connaissances sans, pourtant, que les diverses religions des populations de cette zone géographique n'aient pu réussir ce que les scientifiques ont pu obtenir dans leurs domaines. P.Ginsburger

5 étoiles l'union fait la force
Par Lallier Wilfried, le 28 janvier 2014
J'ai adoré. On a rarement l'occasion de lire un livre comme celui-ci. Je ne sais même pas s'il en existe un autre comme lui. D'habitude lorsqu'un livre regroupe plusieurs scientifiques, chacun d'entre eux signe son article. Mais avec "Théorie Sensorielle", c'est différent, ils ont vraiment collaboré entre eux, pour écrire ensemble apportant chacun leur savoir. Je n'ose imaginer le travail des deux auteurs principaux. Je comprends qu'il leur a fallu seize ans. Ce livre annonce un tournant. C'est une fenêtre sur le futur.

5 étoiles Nos sens à l'origine des inventions humaines
Par Marcel Valley, le 21 janvier 2014
Par le biais de l'archéologie mésopotamienne les auteurs ont réussi à découvrir le fonctionnement de la partie la plus obscure de notre cerveau. Le pari était audacieux et le plus étrange est que parfois je me suis dit que je le savais. Je recommande ce livre qui avec ses nombreuses illustrations est accessible au plus grand nombre. Françoise V.

5 étoiles 2+34=36 raisons de lire ce livre
Par cassi, le 17 janvier 2014
2 chercheurs indépendants et 34 scientifiques du plus haut niveau ont écrit ce livre.Il était normal qu'ils arrivent à faire un livre qui n'a pas son équivalent dans nos bibliothèques .J'ai découvert un univers , et je sais maintenant que nous avons sept sens et pas cinq ! MERCI.

5 étoiles Un ouvrage scientifique fascinant,
Par Richard Dumbrill, le 29 décembre 2013
Cet ouvrage remarquable est plus une collection de dissertations qu’un volume continu. Cependant les descriptions archéologiques et bio-neurologiques de chacune des sections sont rigoureusement précises et écrites clairement avec les contributions des meilleurs experts de la scène internationale. Ces textes excluent l’évidence circonstancielle puisque les analogies présentées sont incontournables et mènent à l’hypothèse d’un processus sous-jacent du non-conscient cognitif. Les auteurs, Philippe Roi et Tristan Girard exposeront, dans un prochain volume, une thèse par laquelle un code neural éluciderait la causalité et les conséquences des analogies offertes dans le premier volume. Les illustrations sont excellentes et contribuent à la compréhension des analogies présentées. Il est certain que ce volume fera l’objet de critiques judicieuses qui soutiendront la thèse car tout ouvrage de cette importance, enrichissant considérablement le corpus de la recherche des neurosciences fait l’objet de convoitises. Richard Dumbrill

 
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5 étoiles A most imaginative insight into man's creativity
By Richard Dumbrill on December 27, 2013
This fascinating work is more a collection of essays than it is a continuous volume. However the descriptions in each archaeological and bio-neurological section are indisputably accurate and written in a clear language with contributions of leading academics. There is no room for circumstantial evidence as the analogies here presented are indubitably justified.They lead to the hypothesis of an underlying non-conscious cognitive process. The authors, Philippe Roi and Tristan Girard, will reveal, in a forthcoming volume, the thesis by which a 'neural code' would elucidate the causes and consequences of the analogies presented in this first tome. The illustrations are excellent and add to the understanding of the given analogies. There is no doubt that this publication will lead to fierce opposition, as it is the case with every significant contribution to the corpus of neural-scientific research, and will help strengthen the thesis. Richard Dumbrill

5 étoiles Original, Exciting Scholarship
By nick turner on March 27, 2014
This is a fascinating and I think ground-breaking book, whose argument is backed up with excellent illustrations. It enhances our understanding of how the senses function, and how the development of various instruments has been inspired by them. It is clear, readable and intellectually stimulating. A great book.

 
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5 étoiles Un grand livre, que je recommande vivement
par Margaret, France, 22/05/2014
La théorie sensorielle répond à une question importante : comment le cerveau invente-t-il ? C'est un livre incroyable qui apporte des réponses concrètes à des questions essentielles sur les inventions, le temps, le cerveau conscient et inconscient. C'est magistral. Sans oublier la qualité des illustrations qui facilitent la compréhension de toutes ces analogies aussi surprenantes que logiques.

5 étoiles Un livre unique
par Richard. P, 20/03/2016
Par des analogies reliant des inventions Mésopotamiennes aux organes sensoriels, Philippe Roi et Tristan Girard ont réussi à expliquer le fonctionnement de la partie la plus obscure de notre cerveau : le Non Conscient Cognitif et à travers lui la méthode que l'esprit utilise pour inventer de nouveaux concepts. C'est remarquable. On plonge dans la connaissance. Chaque inventions à été rédigée avec le concours de grands scientifiques de réputation internationale. Ce livre, avec ses nombreuses illustrations est unique, je le recommande.

 
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5 étoiles Un ouvrage étonnant et riche en informations
Par Marie-Laure Tena, le 5 juillet 2014
"La Thèorie Sensorielle" (une Archéologie de la Perception Sensorielle) est un ouvrage dense qui requiert une dose de concentration, de relecture et une certaine capacité à s'émerveiller. Les premiers chapitres sont abordables (Mésopotamie, premières inventions). Puis, la mise en perspective des inventions telles que l'écriture, la comptabilité ou la harpe urukéenne avec des systèmes biologiques humains exige une lecture minutieuse, même si la mise en parallèle du détail du fonctionnement des différents systèmes organiques et de la représentation photographique ou illustrée des vestiges archéologiques mésopotamiens, à chaque chapitre, donne au lecteur la possibilité de voir par lui-même et d'effectuer d'éventuels rapprochements, selon son degré de connaissance des mécanismes biologiques internes. Malheureusement, mes connaissances en anatomie sont très relatives... mais le caractère passionnant et innovant de la théorie sensorielle m'a donné l'envie d'aller jusqu'au bout du livre. Et j'ai bien fait. Le chapitre sur les analogies sensorielles est intellectuellement jubilatoire. Je ne suis pas sûre d'avoir intégré toutes les informations et leurs nuances, mais l'univers qui y est présenté est fascinant. La notion de non-conscient cognitif ouvre des perspectives de compréhension de certains phénomènes neurologiques. Imaginez une nouvelle planète à peine éclairée dans l'immensité spatiale. C'est ce que j'ai ressenti. Les commentaires et courriers émis par les contributeurs et relecteurs ne sont pas à négliger. Ils témoignent non seulement de la qualité des intervenants mais donnent à voir ou à entrevoir l'avis qu'ils ont sur "La Théorie Sensorielle".